• Le roi de Tlaxcala avait une très belle fille appelée Iztaccíhuatl qui était amoureuse du guerrier Popocatépetl. C’était l’époque des guerres  pour le control de la vallée de Mexico et  Popocatépetl allait partir à la guerre. Il demanda au roi la main de sa fille  et le roi y consentit à condition qu’il lui rapporta sur la pointe de son lance la tête de son grand ennemi et de cette façon Popocatépetl serait un héros et pourrait épouser la princesse. Iztaccíhuatl en larmes promit à son fiancé de l’attendre

     Le guerrier parti pleins d’illusions, la guerre fut longue, il affronta de nombreuses batailles,  traversa montagnes et vallées a la recherche de l’ennemi du roi.

     Les années passèrent et  Popocatépetl ne revenait pas, la princesse fidèle à sa promesse l’attendait et tous les jours demandait à son père s’il avait des nouvelles de son fiancé

     L’attente fut longue et enfin  Popocatépetl rentra avec la tête de l’ennemi du roi sur sa lance comme il l’avait  promis . Il revint vainqueur et pleins d’illusions pour son futur mariage. Mais quand il arriva devant le roi celui-ci lui dit que la princesse était morte de tristesse en l’attendant

     Popocatépetl, désespéré et en pleurs approcha du corps de Iztaccíhuatl et l’embrassa. La gloire, le pouvoir et la richesse ne lui servaient de rien sans sa princesse bien aimée. La mort dans l’âme, il pris dans ses bras la princesse et parti vers les montagnes, sur la plus haute il posa  le corps de la princesse, alluma un feu et se mit a genoux devant Iztaccíhuatl  pour veiller sur son rêve éternel

    Les années passèrent et la neige couvrit leurs  corps qui formèrent les deux volcans. Popocatépetl nous rappelle parfois qu’il veille toujours et ne s’est pas endormi. 

     


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  • Fanch ar Floc'h était forgeron à Ploumilliau. Comme c'était un artisan modèle, il avait toujours plus de travail qu'il n'en pouvait exécuter. C'est ainsi qu'une certaine veille de Noël, il dit à sa femme après le souper:

    - Il faudra que tu ailles seule à la messe de minuit avec les enfants : moi, je ne serai jamais prêt à t'accompagner : j'ai encore une paire de roues à ferrer, que j'ai promis de livrer demain matin, sans faute, et, lorsque j'aurai fini, c'est, ma foi de mon lit que j'aurai surtout besoin,.

    A quoi sa femme répondit :
    - Tâche au moins que la cloche de l'Elevation ne te trouve pas encore travaillant.
    - Oh! fit-il, à ce moment-là, j'aurai déjà la tête sur l'oreiller.

    Et, sur ce, il retourna à son enclume, tandis que sa femme apprêtait les enfants et s'apprêtait elle-même pour se rendre au bourg, éloigné de près d'une lieue, afin d'y entendre la messe. Le temps était clair et piquant, avec un peu de givre. Quand la troupe s'ébranla, Fanch lui souhaita bien du plaisir.

    - Nous prierons pour toi, dit la femme, mais souviens-toi, de ton côté, de ne pas dépasser l'heure sainte.
    - Non, non. Tu peux être tranquille.

    Il se mit à battre le fer avec ardeur, tout en sifflotant une chanson, comme c'était son habitude, quand il voulait se donner du coeur à l'ouvrage. Le temps s'use vite, lorsqu'on besogne ferme. Fanch ar Floc'h ne le sentit pas s'écouler. Puis, il faut croire que le bruit de son marteau sur l'enclume l'empêcha d'entendre la sonnerie lointaine des carillons de Noël, quoiqu'il eût ouvert tout exprès une des lucarnes de la forge. En tout cas, l'heure de l'Elevation était passée, qu'il travaillait encore. Tout à coup, la porte grinça sur ses gonds.

    Etonné, Fanch ar Floc'h demeura, le marteau suspendu, et regarda qui entrait.
    - Salut ! dit une voix stridente.
    - Salut ! répondit Fanch.

    Et il dévisagea le visiteur, mais sans réussir à distinguer ses traits que les larges bords rabattus d'un chapeau de feutre rejetaient dans l'ombre. C'était un homme de haute taille, le dos un peu voûté, habillé à la mode ancienne, avec une veste à longues basques et des braies nouées au-dessus du genou. Il reprit, après un court silence:

    - J'ai vu de la lumière chez vous et je suis entré, car j'ai le plus pressant besoin de vos services.
    - Sapristi! dit Fanch, vous tombez mal, car j'ai encore à finir de ferrer cette roue, et je ne veux pas, en bon chrétien, que la cloche de l'Elévation me surprenne au travail.
    - Oh ! fit l'homme, avec un ricanement étrange, il y a plus d'un quart d'heure que la cloche de l'Elévation a tinté.
    - Ce n'est pas Dieu possible! s'écria le forgeron en laissant tomber son marteau.
    - Si fait ! repartit l'inconnu. Ainsi que vous travailliez un peu plus, ou un peu moins!... D'autant que ce n'est pas ce que j'ai à vous demander qui vous retardera beaucoup; il ne s'agit que d'un clou à river.

    En parlant de la sorte, il exhiba une large faux, dont il avait jusqu'alors caché le fer derrière ses épaules, ne laissant apercevoir que le manche, que Flanch ar Floc'h avait, au premier aspect, pris pour un bâton.

    - Voyez, continua-t-il, elle branle un peu : vous aurez vite fait de la consolider.
    - Mon Dieu, oui ! Si ce n'est que cela , répondit Fanch, je veux bien.

    L'homme s'exprimait, d'ailleurs, d'une voix impérieuse qui ne souffrait point de refus. Il posa lui-même le fer de la faux sur l'enclume.

    - Eh ! mais il est emmanché à rebours, votre outil ! observa le forgeron. Le tranchant est en dehors! Quel est le maladroit qui a fait ce bel ouvrage?
    - Ne vous inquiétez pas de cela, dit sévèrement l'homme. Il y a faux et faux. Laissez celle-ci comme elle est et contentez-vous de la bien fixer.
    - A votre gré, marmonna Fanch ar Floc'h, à qui le ton, du personnage ne plaisait qu'à demi.

    Et, en un tour de main, il eut rivé un autre clou à la place de celui qui manquait.
    - Maintenant, je vais vous payer, dit l'homme.
    - Oh ! ça ne vaut pas qu'on en parle.
    - Si ! tout travail mérite salaire. Je ne vous donnerai pas d'argent, Fanch ar Floc'h, mais, ce qui a plus de prix que l'argent et que l'or: un bon avertissement. Allez vous coucher, pensez à votre fin, et, lorsque votre femme rentrera, commandez-lui de retourner au bourg vous chercher un prêtre. Le travail que vous venez de faire pour moi est le dernier que vous ferez de votre vie. Kénavô! (Au revoir.)

    L'homme à la faux disparut. Déjà Fanch ar Floc'h sentait ses jambes se dérober sous lui : il n'eut que la force de gagner son lit où sa femme le trouva suant les angoisses de la mort.

    - Retourne, lui dit-il, me chercher un prêtre.
    Au chant du coq, il rendit l'âme, pour avoir forgé la faux de l'Ankou.


    (Conté par Marie-Louise Daniel. - Ploumilliau.)


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  • Dans nos maisons nous pouvons accueillir différentes créatures. Cependant chacune d’elle a ses besoins et règles de vie.
    Voici un exemple concret de cohabitation avec des elfes

    Préalable

    Il existe différentes sortes d’elfes ayant chacune leurs vertus et capacités.
    Un elfe doit être en premier votre ami, vous ne devez pas le considérez comme un esclave ou passe temps ou jouet autrement il se montrera pas ou vous jouera des tours.
    Un elfe apprécie une maison propre et rangée et aussi une personne proche de la nature

    Les différentes sortes d’elfes et l’ambiance à créer dans la maison pour leurs faire une place douillette

    Les elfes des collines creuses (dun-elfen), « petite maison avec des fruits secs »
    Les elfes des bois « parfum et plantes »
    Les elfes des eaux soit les ondines « coquillages et fontaines »
    Les elfes des montagnes « pierres et métaux précieux »
    Les elfes des haies « une haie d’arbres ou une haie de bonzaï »
    Les elfes des sables « du sable propre et consacrée en offrande à lui »
    Les elfes des bois mutant apprécient les bois étranges pour s’en occuper

    Les offrandes :
    En offrandes choisissez des objets ou des choses correspondant à leurs environnements. Ils aiment les plantes, les fruits secs, les fleurs, le lait, les pierres, les pièces de monnaie sous les meubles etc
    Cependant tout doit rester propre une offrande de typologie nourriture doit restée entre 6h et 8 h afin que cela ne devienne pas dérangeant pour nos amis. De plus vous devez leurs offrir lors d’un rituel. A noter les elfes se nourrissent de l’énergie des aliments et quelques fois des aliments.

    Exemple de rituel dédicatoire

    Elfens, Elfens, Elfens, je vous prie en cette soirée de m’écouter
    Chers elfes des « …. »,
    Je vous invoque aujourd’hui pour vous offrir une place dans ma maison
    Et pour me lier à vous en toute amitié.

    Elfens Elfens Elfens
    Je souhaite partager mon lieu de vie avec vous.
    Pour prouver mon engagement envers vous je vous offre dès aujourd’hui
    Mon amitié et « ce que vous avez préparez » afin que vous vous sentiez bien à mes côtés.
    Et que nous partagions nos vies à tout jamais.

    Elfens elfens elfens, je vous en remercie

    Exemple de rituel d’offrande

    Chers Elfens en ce jour je vous offre afin que vous soyez heureux et fier. Je vous remercie d’accepter mon cadeau.

    Exemple de rituel nocturne de remerciement

    Elfens elfens Elfens , j’espère que vous allez bien en ce jour et que vous avez passé une bonne journée, je vous remercie pour cette journée en votre compagnie, ……… et je vous souhaite une agréable nuit

    Bien entendut ,chacun de vous, pourra faire ses propres rituels, qui seront d'autant plus apréciés, de nos amis les elfes.


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